Le goût de vivre, sans doute l'avait-il plus que les autres. Et son
instinct devait lui dire qu'il fallait faire vite ; dommage.
Heureusement, il nous reste "Parle-moi", "le fil du funambule" et les
autres. Heureusement !
Apporte du vin frais.
On va parler de Dylan, de foot-ball, de Brest et de Toulouse, des mots et des couleurs.
Des oiseaux qui partent trop vite.
Francis Cabrel
www.franciscabrel.com
(Texte paru en 1982 dans le mensuel
Paroles & Musique et publié avec l'aimable autorisation de la revue trimestrielle Chorus)
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